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Les origines du stafforshire terrier américain Pour savoir d'ou vient l'american Staff, il faut remonter l'histoire de la race jusqu'à l'an 800 av JC, lorsque des marchands phéniciens ont amené en angleterre des mâtins venus d'Asie. Ces molosses avaient été sélectionnés pour poursuivre, attaquer et saisir des proies agressives et de grande taille comme le sangliers, les ours ou les félins, animaux aussi suceptible de faire face a l'adversaire que de fuir. Les mâtins de l'antiquité faisaient preuve d'une combativité et d'un courage exeptionneles; ils étaient très appréciés de l'Asie à l'Europe.
Vers l'an 400 de notre ère, un autre mâtin débarqua sur les côtes anglaise : l'Alan. Les fermiers et marchands de bestiaux anglais développèrent à partir de cette race le premier véritable Bulldog (orthographié à l'époque Bull-dogge). Au Moyen Age, il était le premier chien capable d'une "prise vérouillée", aptitude qui tient plus de la ténacité du chien que de l'anatomie de sa mâchoire. Ces Bulldogges pouvaient poursuivre, arrêter et se suspendre au museau, à la joue ou à la gorge d'un grand herbivore et ne plus le lâcher, peu importe la violence avec laquelle le gibier se débattait et les coups que le chien devait endurer. Depuis cette époque et jusqu'au début de l'ère industrielle, les bulldogges capturaient des cheveaux, des bovins et des porcs.
Ces chiens travaillaient dans les fermes et les abattoirs, ils participaient également à des combats. Lors de la capture du bétail, ils étaient généralement capables de soumettre l'herbivore par la douleur de leur morsure avant d'être eux-mêmes bléssés. Lorsqu'il acceptait sa défaite, le boeuf baissait la tête et se laissait traîner par le chien vers le boucher pour être parqué ou abbatu. C'est à cause de cet emploi que les Bulldogges étaient couramment appelés "chiens de boucher"
"The Westminster Pit". Cette carte de 1820 illustre l'atmosphère entourant les combats très populaires à cette époque. Le Stafforshire Terrier Américain (et le Pitbull) ont été séléctionnées pour ces combats
Outre leur aptitude à saisir et ne plus lâcher, les premiers Bulldogges étaient capables de renverser un boeuf en faisant rapidement tourner leurs corps sur lui-même au momebt où le bovin était déséquilibré. Un chien de 36kg pouvait amener à terre un boeuf de plus de 800kg.
Après la prohibition du bull baiting (les chiens combattaient les bovins déstinés a l'abattage), les éleveurs qui appréciaent la combativité, le courage et la ténacité des bulldogges ont séléctionné leurs animaux en vu des combats de chiens. Les mineurs du Staffordshire ont croisé leur English Bulldogges avec des terriers hargneux et ont poursuivi la tradition des combats (qui se tiennent encore clandestinement aujourdd'hui). De ces croisement sont issus le Bull and Terrier et le Staffordshire Terrier. Ces chiens ont été séléctionnés pour leur agréssivité vis-à-vis des autres chiens, leur bravoure infaillible, leur aptitude à endurer la douleur, leur excellente coagulation sanguine, leur résolution de se battre jusqu'a bout et leur incomparable amour popur les humains. Ces caractéristiques étaient exploitées par l'homme qui lancait les chiens dansu ne luttes qui se tenaient dans une fosses (pit en anglais). L'issue du combat dépendait de l'enjeu.
Parfois on arrêtais dès qu'un concurrent était acculé ou chassé de l'arène, parfois les chiens se battaient à mort. Quoi qu'il en soit, l'homme abusait de la loyauté des animaux, prêts à souffrir mille tourments pour mériter les félicitations de leur maître. Il est intéressant de noter que les premiers éleveurs qui ont sélectionné ces chiens tenaient le dévouement envers l'homme pouru ne qualité absolument indispensable. Si un animal se retournait contre un humain, le mordait ou montrait de l'agressivité envers lui, il etait immédiatement éliminé. Grâce a cela, la race fait preuve d'un indéfectible amour pour l'homme, faut de quoi elle représenterait un terrible danger pour lui.
Ces chiens ont été importés en Amérique vers 1870 comme chien de ferme et de garde chez lesp ionniers. Dans le Far West, ils ont accompli leur tâches avec talent et ont rapidement acquis la réputation de meilleur chien qu'un homme puisse avoir. Afin d'améliorer l'adaptation du chien à son environnement et à son nouveau mode de vie, les éleveurs de Bull and Terrier ont commencé à selectionner un chien plus grand. La race devint parfaitement polycalente, remplissant des fonctions aussi variées que chien de berger et de protection des troupeaux, chasseur de nuisibles, chien de trait, chien de garde et chien de compagnie. Dans ce rôle, il était aussi apprecié et respecté qu'un ami de la famille. A cette époque, il fut désigné sous diverses appellations : Pit Dog, Pit Bull Terrier, American Bull Terrier et meme Yankee Terrier. De ces importations sont issues deux races distinctes : Le Pitbull Terrier Américain et le Staffordshire Terrier Américain. Le United Kennel Club (UKC) admit le Bull and Terrier précédemment cité sous l'apellation Americain Pitbull Terrier en 1898.
L'American Kennel Club (AKC) négligea les races désignées sous l'appellation pit bull jusqu'en 1936, date a laquelle il reconnut l'American Pit Bull Terrier sous le nom impropre de Staffordshire Terrier, en l'honneur des mineurs qui avaient développé la race de combat en Angleterre. 50 Staffordshire Terriers furent inscrits à l'AKC et l'un de ces chiens était PETEY de la série télévisée.
En 1972, la race fut rebaptisée American Staffordshire Terrier afin de distinguer du Staffordhire Bull Terrier d'Angleterre, ancêtre des chiens américain, qui fut reconnu par l'American kennel club en 1974. La race anglaise mesure de 35 à 40 cm au garrot du cousin américain varie de 43 à 48 cm, le poids n'est pas spécifié mais le standard précise qu'il doit être en harmonie avec la taille. Pour l'UKC, le Pitbull Terrier doit peser entre 13,5 et 27kg, les femelles étant généralement, mais pas nécessairement, plus petites que les mâles.
Depuis son entrée à l'AKC, le Staffordhire Terrier Américain a été reproduit indépendamment du Pitbull Terrier reconnu par l'UKC. Il en résulte qu'il s'agit de deux races distinctes. L'AKC et la Fédération Canine Internationale (FCI) admettent le Staffordshire Bull Terrier et le Staffordshire Terrier Americain comme races canines, mais non le Pitbull Terrier. Pour l'UKC, les chiens inscrit à l'AKC comme American Staffordhire Terriers sont des American PitBull Terriers et peuvent être inscrits sous cette désignation dans son propre registre.
Le Standard de race du STAFFORDSHIRE TERRIER AMERICAIN
Standard F.C.I. N°286 du 01.12.1997
Origine : U.S.A
Date de publication du Standard d'origine en vigeur : 03.09.1996
Classification F.C.I. : Groupe 3 Terriers. Section 3 Terriers de type bull. Sans épreuve de travail.
Aspect général : Doit donner l'impression d'une grande force par rapport à sa taille. Chien bien soudé, musclé mais agile et élégant, très attentif à son environnement. Il doit être ramassé et non haut sur pattes ni enlevé. Son courage est proverbial.
Tête : De longueur moyenne, haute de toute part.
REGION CRANIENNE :
Crâne : Large.
Stop : Net.
Truffe : Nettement noire.
Museau : De longeur moyenne, arrondi dans sa partie supérieure, il tombe brusquement sous les yeux.
Lèvres : Jointives et unies, sans partie lâche.
Mâchoires/Dents : Bien dessinées. La mâchoire inférieure doit être forte et capable de puissance dans sa prise. Les incisives supérieures sont en contact étroit avec la face antérieure des incisives inférieures.
Joues : Les muscles des joues sont très prononcés.
Yeux :De couleur foncée, ronds, bien enfoncés dans les orbites et bien séparés. Jamais de ladre aux paupières.
Oreilles : Insérées haut. Coupées ou non coupées. On préfère les oreilles non coupées qui doivent être courtes, en rose ou semi-dressées. Les oreilles carrément tombantes seront pénalisées.
Cou : Légèrement galbé, il va en diminuant des épaules vers la nuque. La peau n'est pas lâche. De longueur moyenne.
Epaules : Fortes et musclées; les omoplates sont larges et obliques.
Dos : Assez court. Légère pente du garrot à la croupe qui offre une déclivité courte et douce jusqu'à la naissance de la queue. Le rein est légèrement remonté.
Corps : Côtes bien cintrées, longues vers l'arrière. Elles sont bien serrées les unes contre les autres. Les membres antérieurs sont suffisamment écartés à l'attache pour permettre le bon développement de la poitrine qui est haute et large.
Queue : Courte par rapport à la taille, attachée bas, allant en s'amenuisant vers une extrémité fine. Elle n'est ni enroulée ni portée au-dessus du dos. Elle n'est pas écourtée.
Membres: Les antérieurs doivent être droits; l'ossature est forte et ronde, le canon métacarpien d'aplomb. Le davant ne doit pas présenter la moindre courbure. Les membres postérieurs sont bien musclés; les jarrets sont descendus et ne sont tournés ni en dedans ni en dehors. Pieds de dimensions moyennes, bien cambrés et compacts. La démarche doit être élastique; le chien ne doit ni rouler dans ses allures ni aller l'amble.
Poil : Poil court, serré, raide au toucher, et luisant.
Couleur : Toute couleur de robe est admise: unicolore, pluricolore ou panachée, mais ne sont pas recherchées les robes toutes blanches, ayant plus de 80% de blanc, noir et feu et la couleur foie.
Defauts : Il faut pénaliser la truffe dépigmentée, les yeux clairs ou les paupières dépigmentées, la queue trop longue ou mal portée, le prognathisme supérieur ou inférieur.
N.B. Les mâles doivent avoir deux testicules d'apparence normale complètement descendus dans le scrotum.
Vers l'an 400 de notre ère, un autre mâtin débarqua sur les côtes anglaise : l'Alan. Les fermiers et marchands de bestiaux anglais développèrent à partir de cette race le premier véritable Bulldog (orthographié à l'époque Bull-dogge). Au Moyen Age, il était le premier chien capable d'une "prise vérouillée", aptitude qui tient plus de la ténacité du chien que de l'anatomie de sa mâchoire. Ces Bulldogges pouvaient poursuivre, arrêter et se suspendre au museau, à la joue ou à la gorge d'un grand herbivore et ne plus le lâcher, peu importe la violence avec laquelle le gibier se débattait et les coups que le chien devait endurer. Depuis cette époque et jusqu'au début de l'ère industrielle, les bulldogges capturaient des cheveaux, des bovins et des porcs.
Ces chiens travaillaient dans les fermes et les abattoirs, ils participaient également à des combats. Lors de la capture du bétail, ils étaient généralement capables de soumettre l'herbivore par la douleur de leur morsure avant d'être eux-mêmes bléssés. Lorsqu'il acceptait sa défaite, le boeuf baissait la tête et se laissait traîner par le chien vers le boucher pour être parqué ou abbatu. C'est à cause de cet emploi que les Bulldogges étaient couramment appelés "chiens de boucher"
"The Westminster Pit". Cette carte de 1820 illustre l'atmosphère entourant les combats très populaires à cette époque. Le Stafforshire Terrier Américain (et le Pitbull) ont été séléctionnées pour ces combats
Outre leur aptitude à saisir et ne plus lâcher, les premiers Bulldogges étaient capables de renverser un boeuf en faisant rapidement tourner leurs corps sur lui-même au momebt où le bovin était déséquilibré. Un chien de 36kg pouvait amener à terre un boeuf de plus de 800kg.
Après la prohibition du bull baiting (les chiens combattaient les bovins déstinés a l'abattage), les éleveurs qui appréciaent la combativité, le courage et la ténacité des bulldogges ont séléctionné leurs animaux en vu des combats de chiens. Les mineurs du Staffordshire ont croisé leur English Bulldogges avec des terriers hargneux et ont poursuivi la tradition des combats (qui se tiennent encore clandestinement aujourdd'hui). De ces croisement sont issus le Bull and Terrier et le Staffordshire Terrier. Ces chiens ont été séléctionnés pour leur agréssivité vis-à-vis des autres chiens, leur bravoure infaillible, leur aptitude à endurer la douleur, leur excellente coagulation sanguine, leur résolution de se battre jusqu'a bout et leur incomparable amour popur les humains. Ces caractéristiques étaient exploitées par l'homme qui lancait les chiens dansu ne luttes qui se tenaient dans une fosses (pit en anglais). L'issue du combat dépendait de l'enjeu.
Parfois on arrêtais dès qu'un concurrent était acculé ou chassé de l'arène, parfois les chiens se battaient à mort. Quoi qu'il en soit, l'homme abusait de la loyauté des animaux, prêts à souffrir mille tourments pour mériter les félicitations de leur maître. Il est intéressant de noter que les premiers éleveurs qui ont sélectionné ces chiens tenaient le dévouement envers l'homme pouru ne qualité absolument indispensable. Si un animal se retournait contre un humain, le mordait ou montrait de l'agressivité envers lui, il etait immédiatement éliminé. Grâce a cela, la race fait preuve d'un indéfectible amour pour l'homme, faut de quoi elle représenterait un terrible danger pour lui.
Ces chiens ont été importés en Amérique vers 1870 comme chien de ferme et de garde chez lesp ionniers. Dans le Far West, ils ont accompli leur tâches avec talent et ont rapidement acquis la réputation de meilleur chien qu'un homme puisse avoir. Afin d'améliorer l'adaptation du chien à son environnement et à son nouveau mode de vie, les éleveurs de Bull and Terrier ont commencé à selectionner un chien plus grand. La race devint parfaitement polycalente, remplissant des fonctions aussi variées que chien de berger et de protection des troupeaux, chasseur de nuisibles, chien de trait, chien de garde et chien de compagnie. Dans ce rôle, il était aussi apprecié et respecté qu'un ami de la famille. A cette époque, il fut désigné sous diverses appellations : Pit Dog, Pit Bull Terrier, American Bull Terrier et meme Yankee Terrier. De ces importations sont issues deux races distinctes : Le Pitbull Terrier Américain et le Staffordshire Terrier Américain. Le United Kennel Club (UKC) admit le Bull and Terrier précédemment cité sous l'apellation Americain Pitbull Terrier en 1898.
L'American Kennel Club (AKC) négligea les races désignées sous l'appellation pit bull jusqu'en 1936, date a laquelle il reconnut l'American Pit Bull Terrier sous le nom impropre de Staffordshire Terrier, en l'honneur des mineurs qui avaient développé la race de combat en Angleterre. 50 Staffordshire Terriers furent inscrits à l'AKC et l'un de ces chiens était PETEY de la série télévisée.
En 1972, la race fut rebaptisée American Staffordshire Terrier afin de distinguer du Staffordhire Bull Terrier d'Angleterre, ancêtre des chiens américain, qui fut reconnu par l'American kennel club en 1974. La race anglaise mesure de 35 à 40 cm au garrot du cousin américain varie de 43 à 48 cm, le poids n'est pas spécifié mais le standard précise qu'il doit être en harmonie avec la taille. Pour l'UKC, le Pitbull Terrier doit peser entre 13,5 et 27kg, les femelles étant généralement, mais pas nécessairement, plus petites que les mâles.
Depuis son entrée à l'AKC, le Staffordhire Terrier Américain a été reproduit indépendamment du Pitbull Terrier reconnu par l'UKC. Il en résulte qu'il s'agit de deux races distinctes. L'AKC et la Fédération Canine Internationale (FCI) admettent le Staffordshire Bull Terrier et le Staffordshire Terrier Americain comme races canines, mais non le Pitbull Terrier. Pour l'UKC, les chiens inscrit à l'AKC comme American Staffordhire Terriers sont des American PitBull Terriers et peuvent être inscrits sous cette désignation dans son propre registre.
Le Standard de race du STAFFORDSHIRE TERRIER AMERICAIN
Standard F.C.I. N°286 du 01.12.1997
Origine : U.S.A
Date de publication du Standard d'origine en vigeur : 03.09.1996
Classification F.C.I. : Groupe 3 Terriers. Section 3 Terriers de type bull. Sans épreuve de travail.
Aspect général : Doit donner l'impression d'une grande force par rapport à sa taille. Chien bien soudé, musclé mais agile et élégant, très attentif à son environnement. Il doit être ramassé et non haut sur pattes ni enlevé. Son courage est proverbial.
Tête : De longueur moyenne, haute de toute part.
REGION CRANIENNE :
Crâne : Large.
Stop : Net.
Truffe : Nettement noire.
Museau : De longeur moyenne, arrondi dans sa partie supérieure, il tombe brusquement sous les yeux.
Lèvres : Jointives et unies, sans partie lâche.
Mâchoires/Dents : Bien dessinées. La mâchoire inférieure doit être forte et capable de puissance dans sa prise. Les incisives supérieures sont en contact étroit avec la face antérieure des incisives inférieures.
Joues : Les muscles des joues sont très prononcés.
Yeux :De couleur foncée, ronds, bien enfoncés dans les orbites et bien séparés. Jamais de ladre aux paupières.
Oreilles : Insérées haut. Coupées ou non coupées. On préfère les oreilles non coupées qui doivent être courtes, en rose ou semi-dressées. Les oreilles carrément tombantes seront pénalisées.
Cou : Légèrement galbé, il va en diminuant des épaules vers la nuque. La peau n'est pas lâche. De longueur moyenne.
Epaules : Fortes et musclées; les omoplates sont larges et obliques.
Dos : Assez court. Légère pente du garrot à la croupe qui offre une déclivité courte et douce jusqu'à la naissance de la queue. Le rein est légèrement remonté.
Corps : Côtes bien cintrées, longues vers l'arrière. Elles sont bien serrées les unes contre les autres. Les membres antérieurs sont suffisamment écartés à l'attache pour permettre le bon développement de la poitrine qui est haute et large.
Queue : Courte par rapport à la taille, attachée bas, allant en s'amenuisant vers une extrémité fine. Elle n'est ni enroulée ni portée au-dessus du dos. Elle n'est pas écourtée.
Membres: Les antérieurs doivent être droits; l'ossature est forte et ronde, le canon métacarpien d'aplomb. Le davant ne doit pas présenter la moindre courbure. Les membres postérieurs sont bien musclés; les jarrets sont descendus et ne sont tournés ni en dedans ni en dehors. Pieds de dimensions moyennes, bien cambrés et compacts. La démarche doit être élastique; le chien ne doit ni rouler dans ses allures ni aller l'amble.
Poil : Poil court, serré, raide au toucher, et luisant.
Couleur : Toute couleur de robe est admise: unicolore, pluricolore ou panachée, mais ne sont pas recherchées les robes toutes blanches, ayant plus de 80% de blanc, noir et feu et la couleur foie.
Defauts : Il faut pénaliser la truffe dépigmentée, les yeux clairs ou les paupières dépigmentées, la queue trop longue ou mal portée, le prognathisme supérieur ou inférieur.
N.B. Les mâles doivent avoir deux testicules d'apparence normale complètement descendus dans le scrotum.
